La grande écrivaine Maria Isabel Barreno, auteure des célèbres « Nouvelles lettres portugaises », à la tête du seul mouvement féministe portugais a été la marraine de l’équitation portugaise dès les origines. Depuis 1999, elle a participé activement à la reconnaissance de l’équitation portugaise en France. Elle a permis la création d’ateliers « langue et équitation portugaise » à L’Ambassade du Portugal alors qu’elle était conseillère culturelle en charge de la langue portugaise. Elle a contribué à la fondation de l’Institut du cheval et de l’équitation portugaise et a intégré la célèbre commission équitation portugaise à la FFE. Elle nous a avoué, à travers une belle lettre, que c’était son plus beau projet à Paris ! Elle a rédigé une lettre destinée à la reconnaissance de l’équitation portugaise au Patrimoine de l’UNESCO et a aussi dénoncé les dérives de l’enseignement de la culture portugaise en France à l’Université en considérant l’ouverture aux autres expressions artistiques au-delà de la littérature…D’un esprit très fin, elle avait un sens inné de la diplomatie et un grand respect « pour les bâtisseurs de cathédrales » autrement dit les Portugais de France. Par ses encouragements, elle a profondément changé notre vision de la Lusophonie à l’étranger. Chère Isabelle, j’espère que tu seras applaudie dans « le cercle des poètes disparus » au Paradis des écrivains. Croyante, elle nous confia son intérêt pour la mystique soufie, nous encourageant à la méditer et tout en proclamant la possibilité d’un principe créateur universel ! Chère Isabelle tu rejoins nos chères « marraines » du Ciel : Thérèse d’Avila, Claudia Sousa…Isabelle encore un Grand Merci!
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